Depuis plus de 20 ans, elles demandent de recevoir des quotas pour faire la pêche dans le golfe du Saint-Laurent. Ce droit leur a été accordé à une seule occasion en 2017.

Les deux communautés tentent depuis plusieurs années d’obtenir des explications de Pêches et Océans Canada sur les raisons pour lesquelles elles sont exclues. Faute de réponses, elles se tournent vers les tribunaux.

Elles basent leurs arguments sur le jugement Marshall de la Cour suprême qui, en 1999, reconnaissait le droit de pêche ancestral des Micmacs et des Malécites.

L’obtention de licences communautaires permet aux Premières Nations de générer des profits importants qui sont réinvestis dans la communauté