L’un des objectifs est d’assister ses intervenants qui offrent des services afin de mieux réagir en cas de maltraitance ou de stigmatisation.  En plus de distribuer des dépliants, le CISSS donnera de la formation.

« Lorsqu’on parle de maltraitance, on va parler bien sûr de la maltraitance physique, psychologique, sexuelle, matérielle ou financière. Donc, des types de maltraitance qu’on connait bien. Par contre, on agrandit aussi avec la maltraitance organisationnelle », explique le directeur de la qualité et de l’éthique du CISSS du Bas-Saint-Laurent, Gino Beaudoin.