Ces quatre SADC veulent s’unir pour permettre aux entreprises de leur territoire de transformer leurs rebus en source de revenus. C’est donc dire que la revalorisation de matières résiduelles deviendra une opportunité d’affaires. L’initiative est rendue possible grâce à une contribution non remboursable de 100 000 dollars de la part de la Société du Plan Nord. Le directeur général de la SADC de Charlevoix/Côte-de-Beaupré/Île d’Orléans aimerait identifier 50 entreprises qui pourraient faire partie du projet. Dans un premier temps, si deux à cinq alliances entre entreprises venaient à se réaliser, ce serait pour lui mission accomplie.

«C’est de déterminer les matières qui s’en vont au site d’enfouissement pour les réutiliser, soit au sein de d’autres entreprises, ou carrément former de nouvelles entreprises», explique Pascal Harvey, directeur général de la SADC Charlevoix-Côte-de-Beaupré-Île-d’Orléans