«Je me réjouis de voir ici l’illustration concrète d’une région qui a su non seulement rallier ses forces pour passer à travers la pandémie, mais également se concerter pour mettre en place les éléments d’une relance qui colle à la réalité de ses gens et de son territoire. Caroline Desbiens a toutes les raisons d’être fière de son coin de pays et d’appuyer une initiative comme le projet de gare intermodale de La Malbaie qui servira à la fois la clientèle touristique et la population et qui s’inscrit tout à fait dans notre vision d’une relance verte et prospère, taillée selon les atouts et les perspectives de chacune des régions du Québec»,a fait valoir Yves-François Blanchet.

Le chef du Bloc Québécois et la députée Caroline Desbiens se sont d’ailleurs entretenus avec le maire de La Malbaie, Michel Couturier, au sujet du «Projet La Malbaie» et de la prochaine saison touristique.

«Le Projet La Malbaie est très porteur pour la ville,mais aussi pour toute la région de Charlevoix, particulièrement dans ce contexte de reprise. Je salue l’implication du maire Couturier dans ce projet», a souligné la députée Caroline Desbiens.

Très présente dans la circonscription, l’action communautaire a joué un rôle de premier plan durant la pandémie.

«D’un bout à l’autre de la circonscription, tous les organismes communautaires, dont le Pivot à Beauport et l’Association bénévole de la Côte-de-Beaupré,que nous avons rencontrés, ont tenu le fort depuis un an pour accompagner les jeunes, les femmes, les familles et les aînés,pour aider les Québécois à passer au travers de cette crise. Tous les organismes de Beauport–Côte-de-Beaupré–Île d’Orléans–Charlevoix, ont fait de gros efforts. De notre côté, au Bloc Québécois, nous allons continuer à porter leur voix et marteler le message que nos aînés ont droit à une aide supplémentaire pérenne qui leur est dû, pour les sacrifices qu’ils ont faits durant la pandémie: 110$ par mois, dès 65 ans, c’est le minimum qu’ils doivent recevoir», a ajouté la députée.

La journée s’est conclue avec une rencontre avec des représentants des sections locales de l’Union des producteurs agricoles.Il a notamment été question du projet de loi C-216 du Bloc Québécois qui vise à protéger l’intégralité de la gestion de l’offre dans les accords commerciaux, lequel reçoit un accueil très favorable des UPA régionales.

«Dans la perspective d’une relance tournée vers le développement et l’innovation verte et le maintien du filet social, je les assure d’un appui, d’une complicité et d’une implication calquée sur leurs besoins et leurs enjeux! », renchérit Madame Desbiens.«Le modèle agricole québécois est unique et on doit s’assurer d’en protéger la pérennité.

Notre agriculture est un maillon essentiel de l’économie et de l’autonomie québécoise, tout comme le sont nos commerces de proximité, nos industries navale, touristique et forestière, nos alumineries ou notre filière de l’énergie électrique. Le Québec a tout en main pour saisir les opportunités de la relance et redéfinir une économie qui soit plus écologique, où les régions auront la place qui leur revient », de conclure le chef Yves-François Blanchet.