Prévisions météo
État des routes
Marées
Faire défiler
Faire défiler
Faire défiler

Nouvelles

Un premier voyage pour les 3L à Berlin

Publié le 11 octobre 2018 à 18:14, modifié le 11 octobre 2018 à 18:14

Par: CIMTCHAU

Les 3L disputent leur seule rencontre de la fin de semaine ce samedi à Berlin pour affronter les Blackjacks.

Les Blackjacks de Berlin sont passés bien prêt de vaincre les Éperviers de Sorel-Tracy samedi, mais ils se sont inclinés au compte de 5 à 4. L’entraîneur-chef et directeur général, Martin Daoust, a travaillé d’arrache pied pour former une équipe compétitive à Berlin dès cette saison. Les Blackjacks doivent habiller un minimum  de 5 patineurs américains et Daoust avoue que les agents libres américains ont été difficiles à attirer à Berlin.

«Étant donné qu’on est à notre première année, on a de la difficulté à aller chercher des joueurs de qualité supérieure aux Québécois. Il n’y en a pas, je ne suis pas prêt à dire qu’il y en a.», a mentionné l’entraîneur-chef et directeur général des Blackjacks de Berlin, Martin Daoust.

Le Notre Dame Arena se démarque des autres amphithéâtres de la ligue. Il n’y pas de siège et le petit aréna peut accueillir un maximum de 1600 personnes. La qualité du hockey semi-professionnel attire déjà les foules.

«L’intérêt est là, le noyau dur est là. Je trouve que les partisans sont plus bruyants qu’à l’ordinaire, puisque ça fait longtemps qu’ils n’ont pas vu du bon hockey. Ça satisfait tout le monde et il s’agit que les autres viennent aussi», a ajouté Martin Daoust.

Le premier voyage officiel des 3L cette saison permettra aux hommes de Simon Turcot de solidifier l’esprit d’équipe, notamment avec l’arrivée de plusieurs nouveaux visages.

«Ça va être un vrai voyage où tout le monde est ensemble et personne se rend là par lui-même, donc un 2h30 d’autobus tout le monde ensemble ça tisse des liens», a expliqué l’entraîneur-chef, Simon Turcot.

Rivière-du-Loup tentera de bâtir sur leur victoire de samedi dernier face à Jonquière pour aller chercher le premier gain de son histoire en sol américain. Vincent Lanoie, Rivière-du-Loup.