Rappelons qu’il est soigné à la Clinique des oiseaux de proie de l’UQROP, à Saint-Hyacinthe.

Ses radiographies n’ont montré aucune fracture ni trace de balles de fusil. L’hypothèse la plus probable est donc qu’il serait entré en collision, soit avec un véhicule ou avec un fil électrique, et aurait subi des dommages nerveux à son aile.

L’aile gauche de l’aigle est toujours paralysée, mais il a recommencé à manger et à bouger.

Il sera gardé en observation sept jours, histoire de voir si son état s’améliore. Si c’est le cas, il pourra être relâché ou gardé en captivité, selon ses progrès. Mais si son aile reste pendante et qu’il marche dessus, ça indique un très mauvais pronostic, et l’oiseau de proie devra être euthanasié.