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Nouvelles

Nouvelle exposition de René Amyot, En Quête, jusqu’au 28 juillet 2019 à la salle Pierre-Perrault

Publié le 10 juin 2019 à 08:27, modifié le 10 juin 2019 à 08:27

Par: Communique de presse

C’est devant une foule bondée d’amis et de membres de la sa famille que René Amyot a présenté, dans la salle Pierre-Perrault, une trentaine de tableaux et un haut-relief lors du vernissage de sa nouvelle exposition En Quête.   Accompagné de musiciens pour l’occasion, l’ambiance festive et conviviale a permis aux gens d’apprécier le talent de cet homme coloré, s’il en est un.

En guise de préambule, René Amyot entonne la chanson bien connue de tous : « La peinture à l’huile, c’est bien difficile, mais c’est bien plus beau que la peinture à l’eau! »

En effet, la peinture à l’huile, compte tenu de sa nature et du temps qu’elle prend à sécher, oblige l’artiste-peintre à prévoir l’interaction des couleurs entre elles. C’est pourquoi, une fois le croquis transféré sur toile, l’artiste-peintre se donne un ordre d’action. « Je commence toujours par les pâles et termine avec les couleurs foncées. Je passe du blanc au noir parce qu’on peut toujours foncer la couleur mais impossible de les blanchir! »  Malgré cette rigueur, René Amyot se plait à travailler dans un ordre précis, appliquant le blanc et les couleurs pâles puis poursuivant vers les couleurs foncées pour créer ses toiles.  Travaillant autant au pinceau qu’à la truelle, il affectionne particulièrement la nature et le patrimoine bâti de la région.

René Amyot a produit un grand nombre d’œuvres depuis ses débuts, qui ont toutes été vendues d’ailleurs : « J’ai été initié à la peinture dès l’âge de 15 ans par Irénée Lemieux, compositeur-peintre-sculpteur de Québec, très présent et actif pour la défense des artistes. J’ai abordé avec lui la « gouache », le fusain, le croquis ».  Pendant cette période, René Amyot rappelle que leurs travaux scolaires devaient être illustrés par des dessins liés aux sujets abordés. « Nos « prismacolors », usés au maximum, nous permettaient d’apprivoiser les couleurs, les dégradés et les nuances. »

Dans la vingtaine, c’est avec Jean Soucy, professeur à l’École des Beaux-Arts, qu’il élargit son horizon en abordant le « contemporain » tout en se forçant à exploiter l’imaginaire, l’irréel et la fiction. Bien que formateur, l’artiste préfère le paysage, la nature et les témoignages humains du passage de l’homme sur la terre.

N’hésitez pas à venir le rencontrer les samedis de 13 h à 18 h suivant ce calendrier :
• 15, 22 et 29 juin et
• 6, 13 et 20 juillet 2019

L’exposition se poursuivra jusqu’au 28 juillet inclusivement pendant l’horaire d’été : mardi 12 h à 19 h; mercredi 9 h à 18 h; jeudi 13 h à 19 h; du vendredi au lundi de 10 h à 18 h.