Le festival en chanson et en humour s’est taillé une place de choix au fil des ans dans l’industrie québécoise. C’est le cœur à la fête que le quart de siècle a été célébré.

« On se promenait, tout le monde disait c’est le 25e cette année, puis on a fait les choses en grand », débute Jean-François Baril, le porte-parole et animateur pour une 4^e éditions.

« C’est un des seuls festivals ou oui, il y a une relève en humour, mais aussi en chanson et les deux univers se mélangent et ça je trouve ça fantastique », ajoute l’humoriste, animateur et ancien porte-parole Mario Tessier.

Samedi soir, le souper Gala, animé avec brio pour une 4^e fois par Jean-François Baril, a réuni d’anciens porte-parole.

«  Il y avait un beau résumé pendant les spectacles des artistes qui sont passés ici dans les 25 dernières années c’est quelque chose », explique Jean-François Baril.

« Je faisais le travail que fait très bien Jean-François Baril cette année en fait depuis quatre ans il y a plein d’artistes qu’on connaît aujourd’hui qui sont passés par Dégelis », précise Mario Tessier.

« C’est vraiment ici que j’ai commencé, que j’ai appris mon métier, puis que j’ai eu la piqûre pour ce métier-là et à chaque fois que je reviens ici, c’est comme si je faisais partie de la famille », se confie l’ancien porte-parole et chanteur bien connu Maxime Landry.

Et dimanche soir avait lieu la grande finale. Une fois de plus, des talents des quatre coins du Québec se sont relayés sur la grande scène, comme l’a constaté l’invité d’honneur de la 25^e édition, Lunou Zucchini.

« J’ai constaté qu’il y a beaucoup de talent, et qu’on ne les épuise jamais y en a toujours des nouveaux qui ressortent. C’est le fun de voir la camaraderie ici entre autres », précise Lunou Zucchini, l’ Invité d’honneur de la 25^e édition.

« De belles personnalités, c’est ce que je retiens jusqu’à maintenant de la 25e édition », selon Jean-François Baril.

Les Lauréats ont consolidé de belles amitiés au cours de la semaine.  En plus de recevoir des formations par des professionnels de l’industrie, remporter les honneurs dans leurs catégories respectives fut tout une surprise.

«Gagner ce n’est pas quelque chose que je m’attendais et gagne dans un concours de musique, je trouve que c’est très subjectif, ça dépend vraiment du jury », lance Éliot Richomme, lauréat dans la catégorie, 13 ans et plus.

« De recevoir un prix comme ça, ça me dit que je suis sur la bonne voie », selon Charlotte Désilets, lauréate, de la catégorie, 18 ans et plus.

« C’est dur à croire encore à accepter encore probablement encore plus », termine le gagnant dans la catégorie Humour, Théo Labbé.

En route vers la 26^e édition, « Le Tremplin » poursuit sa mission, celle de propulser la relève.