Une annonce de 29 millions de dollars qui répond à plusieurs besoins qui se sont fait sentir pendant la pandémie. Le but de cet établissement est d’offrir un milieu de vie beaucoup plus humain et adapté aux besoins des personnes âgées, qui rappelle le côté chaleureux d’une maison. 48 places seront disponibles, 36 pour aînés et 12 pour des adultes avec des besoins particuliers.

La ministre des Aînés Marguerite Blais explique que ces établissements seront bien différents :  « C’est une maison où tout ce qui va ressembler à un hôpital n’existera plus. Il y aura une avant-scène arrière scène, tout sera camouflé. Donc, on est dans un milieu convivial avec une cour intérieure. »

L’établissement sera divisé en 4 unités de 12 places qui offriront des chambres et des salles de bains individuelles. Un environnement de vie extérieur sera aussi aménagé pour favoriser un mode de vie plus actif et les relations humaines. Ce projet vise aussi à mieux prévenir et mieux contrôler l’éventualité d’une éclosion de cas de COVID-19.

La rétention des employés est aussi au cœur de ce projet selon le président-directeur général du CIUSSS de la Capitale-Nationale : « On parle d’une cinquantaine d’employés et on souhaite une majorité d’emplois à temps complet. Donc des emplois, on recherche la stabilité, on veut que les gens soient stables dans leurs installations donc la maison des aînés. Donc des postes qui vont permettre d’attirer et de retenir les personnes. »

La maison des aînés et alternative devrait ouvrir ses porte d’ici la fin de l’année 2022.