« L’important, c’est que ça peut aider un projet. Des fois quand tu fais un projet, tu vas limiter tes dépenses, mais maintenant, quand t’as un surplus, tu peux améliorer des choses que tu n’aurais pas été capable d’investir autrement. Ce sont des montants qui sont bienvenus », a indiqué le vice-président de l’Union des producteurs agricoles de la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine, Denis Richard.

Cette nouvelle enveloppe sera ajoutée aux contributions de l’entente sectorielle du soutien des priorités agricoles et agroalimentaires. Un montant avait déjà été distribué l’an dernier, mais a déjà été infiltré dans plusieurs secteurs.

« Plusieurs entreprises qui sont présentement projets, qui n’avaient pas prévu leur projet pour cette subvention-là sauf qu’ils pourront pouvoir l’utiliser de la bonne façon avec des bonnes démarches et de la bonne façon de faire valoir leur projet. Ça peut aussi les aider dans le développement », a mentionné l’homme qui est lui-même agriculteur.

Le gouvernement a déjà fixé des priorités dans lesquels l’argent sera investi. On parle entre autres de la santé des sols et de la production animale durable.

« On sait que l’an passé, ça a été une année très difficile au niveau des changements climatiques, donc ça peut nous aider beaucoup. » « C’est le bien-être animal. Bien-être animal, ça, c’est une chose et il y a aussi la santé des sols. La chaux (?) le drainage. Ça, c’est très important pour avoir une bonne culture, avoir des bons résultats », a soutenu M. Richard.

L’investissement dans le secteur des pêches est quant à lui alloué en vertu du Programme d’appui financier au développement du secteur des pêches et de l’aquaculture commerciales. Le ministre Lamontagne n’était pas disponible afin de répondre à nos questions.