« C’est une très belle nouvelle. Une belle nouvelle pour la région », lance d’entrée de jeu le directeur général de la commission scolaire René-Lévesque, Louis Bujold.

Les classes seront réparties dans les 21 écoles primaires du territoire selon deux critères. De un, la demande des parents et de deux, la commission scolaire priorisera les écoles en milieux plus défavorisés. Le directeur général de la commission scolaire accueille cette nouvelle avec joie et affirme même que la commission scolaire aurait pu en accueillir davantage.

« Donc, non, ça n’a pas été imposé, au contraire, on aurait pu en recevoir plus pour cette année. En a ayant 18, on est une des commissions scolaires, selon moi, au Québec, toute proportion gardée, qui a un pourcentage très intéressant d’accessibilité à la maternelle 4 ans », ajoute Louis Bujold.

« Pour les parents, c’est un choix de plus. Mais pour la société en générale et pour nous à la commission scolaire, ces jeunes là qu’on va inscrire dans nos classes de maternelle 4 ans, vont pouvoir, peut-être, recevoir ou être stimulés de façon plus importante à la lecture, à une série d’éléments qui vont pouvoir mieux les préparer à rentrer à l’école. On prévoit que ça pourrait finalement balancer un petit peu l’égalité des chances. Parce que bien souvent nos enfants n’entrent pas à chances égales dans le réseau scolaire », conclut-il.