Il fait face à deux chefs de méfait public. Le 31 octobre il aurait contacté le 911 et s’est fait passer pour le parent d’un élève. Il a affirmé qu’un étudiant comptait se présenter armé à l’école. La menace s’est finalement avérée non fondée.

Il a été accusé une semaine après les évènements puis relâché sous conditions. Il lui avait été interdit d’utiliser de l’équipement électronique pour accéder à internet. Il a aussi dû remettre tous ses appareils électroniques à la Force policière d’Edmundston.

La mauvaise plaisanterie a tout de même forcé la fermeture de toutes les écoles du District scolaire francophone du Nord-Ouest. L’adolescent subira son procès en mai. Puisqu’il est mineur, son nom ne peut être dévoilé.