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L’Association des chefs en sécurité incendie du Québec réagit au reportage de CIMT

Publié le 1 décembre 2017 à 11:01, modifié le 1 décembre 2017 à 11:35

Par: Catherine Pellerin

L’Association des chefs en sécurité incendie du Québec a réagi au reportage de CIMT, concernant les employeurs qui, lors d’une situation d’urgence, refusent de libérer leur travailleurs qui œuvrent comme pompier volontaire.

L’ACSIQ confirme que ce problème est bien réel. Le Québec compte 22 mille pompiers et officiers, et 80% sont des pompiers volontaires ou employés à temps partiel.

« Nous n’avons pas les moyens de nous passer de ces femmes et de ces hommes qui font ce métier sur une base volontaire, assurant la protection des personnes et de leurs biens en situation d’urgence. Compte tenu de la disparité territoriale et de l’étalement des ressources, cette fonction est vitale dans la réalisation des objectifs qui vise à assurer un service d’urgence à la hauteur des besoins de la population québécoise » – Sylvain Dufresne, président de l’ACSIQ

L’Association encourage les employeurs et les chefs des services d’incendie à collaborer ensemble « afin de s’entendre sur les meilleures pratiques qui sauront profiter à tous les citoyens des villes concernées. »

L’article 154 de la Loi sur la sécurité incendie protège les pompiers et empêche les abus.