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Course automobile : Vincent Beauchesne réalise un rêve d’enfance

Publié le 23 juillet 2022 à 10:23, modifié le 23 juillet 2022 à 10:26

Par: CIMTCHAU

Vincent Beauchesne a toujours eu l’objectif de faire de la course automobile en tant que pilote professionnel. Après l’obtention de sa licence, il aura la chance de fouler la mythique piste du Mont-Tremblant, aujourd’hui, au volant de sa Nissan dans la Coupe Sentra. Accompagné de l’expérimenté Simon Dion-Viens, le pilote recrue réalise un rêve de gamin derrière le volant.

Vincent Beauchesne réalise un rêve d’enfance. Pour la première fois, il s’assoit derrière le volant d’une voiture en tant que pilote de course professionnel.

 «Je me suis mis un objectif personnel, ou j’ai fait une grosse perte de poids et c’était un objectif personnel. Et moi, mon rêve de jeunesse, il y en a qui rêve d’avoir un avion ou hélicoptère, mais moi je voulais conduire une voiture de course et faire une saison en tant que pilote de course.», a-t-il expliqué.

Pour débuter cette nouvelle carrière, il a visé la Coupe Nissan Sentra canadienne, où il prendra le départ sur la mythique piste du Mont-Tremblant ce week-end.

 «C’est une coupe ou les voitures sont toutes pareilles. C’est le même véhicule donc la même puissance seulement une modification ou nouveau du poids des autos, mais on a un seuil minimum à atteindre, au niveau de la hauteur aussi. La différence c’est uniquement derrière le volant tout simplement.», a décrit Beauchesne.

Beauchesne a profité des conseils et de l’expertise du pilote Simon Dion-Viens, qui a déjà conduit la Nissan #8 du Groupe Véloce dans cette série.

 «Simon est très technique et pointilleux, il m’a beaucoup aidé sur la piste et côté mécanique de la voiture, telle chose va faire une différence avec ton axe de pneu peut faire une différence de temps. Des détails que je n’aurais jamais pensé et Simon, il connaît ces détails-là.», a noté le nouveau coureur, qui a profité de l’apport du pilote de Nascar, Simon Dion-Viens.

Le pilote recrue est fébrile à l’idée de mettre pédale au fond sur une vraie piste de course.

 «Honnêtement, je suis excité et des fois je me lève à 5 heures le matin, je rêve à ça. C’est un accomplissement que je réalise et j’aimerais redonner à la communauté de notre région cette passion-là d’accomplir ses rêves.», a-t-il dit, très excité.

C’est une belle source d’inspiration.