Une subvention de près de 30 000 $ à l’organisme L’Autre-Toit du KRTB pour aider les femmes victimes de violence conjugale
Publié le 24 mai 2024 à 16:49, modifié le 24 mai 2024 à 16:49
Par: CIMTCHAU

Le gouvernement du Québec annonce une subvention de 27 400 $ à l’organisme L’Autre-Toit du KRTB.
Cette aide servira à soutenir les femmes victimes de violence conjugale dans une démarche de « dévictimisation ».
Le projet permettra de mettre sur pied deux groupes de soutien pour les femmes victimes de violence au sein d’une relation de couple ou d’une relation intime. Leur but est d’outiller les femmes ainsi que de favoriser l’amélioration de leurs conditions de vie et leur rétablissement.
« En participant à L’Envolée, de nombreuses femmes victimes de violence conjugale reprendront du pouvoir sur leur vie et se donneront les moyens pour prendre soin d’elles-mêmes de façon durable. La maison d’hébergement L’Autre-Toit du KRTB, qui a comme mission principale d’agir contre la violence conjugale, est très fière de la mise sur pied de son nouveau service de groupe », explique la coordonnatrice générale de L’Autre-Toit du KRTB, Cindy Viel.
Cet appui financier provient du Fonds d’aide aux victimes d’actes criminels. Il est octroyé dans le cadre du Programme de subventions pour favoriser la recherche, l’information, la sensibilisation et la formation en matière d’aide aux personnes victimes d’infractions criminelles.
« Nous voulons que les personnes victimes se sentent soutenues, écoutées et comprises. Par le projet qu’il entend déployer, l’organisme L’Autre-Toit du KRTB participe au changement de culture que nous sommes en train de mener et nous tenons à le remercier », lance le ministre de la Justice et procureur général du Québec, Simon Jolin-Barrette.
La députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata, Amélie Dionne, se réjouit aussi de cette initiative pour l’organisme de sa région.
« Grâce à ce soutien, L’Autre-Toit du KRTB pourra poursuivre sa mission avec des projets visant à soutenir la recherche, l’information, la sensibilisation et la formation afin d’aider les victimes d’infractions criminelles. Il est essentiel de sensibiliser les victimes pour qu’elles osent demander de l’aide et dénoncer les crimes. »