Selon le Journal de Québec, la fillette se retrouvait 0ccasionnellement en contact avec l’homme, notamment en voiture. Il profitait de la vulnérabilité l’enfant, alors âgée entre cinq et sept ans, avec des attouchements, puis des gestes de masturbation, qui ont culminé à une relation sexuelle complète. « La gravité des abus est élevée », a lancé la juge Sandra Rioux. Il y a eu pénétration vaginale alors qu’elle n’a que sept ans. » Cette dernière agression s’est déroulée dans une roulotte, même si la fillette disait « avoir très mal ».

Quarante ans plus tard, la femme a expliqué les impacts majeurs sur sa vie, en restant marquée par les odeurs de Blanchet. Elle a même reçu un diagnostic de stress post-traumatique.

Selon le Journal de Québec, le procureur au dossier, M^e François Doyon-Gascon, demandait une sentence de huit ans de détention. Pour la défense, M^e Yves Savard proposait une peine de deux ans dans la collectivité ainsi que des travaux communautaires.

Avec la collaboration du Journal de Québec.