Leur but étant de démontrer l’incohérence qui persiste entre un jeune hockeyeur au niveau civil versus un autre en sport-études. Ce dernier peut pratiquer sa discipline plusieurs fois par semaine contrairement à celui du civil qui n’a pas mis les pieds à l’aréna depuis la mi-décembre.

Hockey Rivière-du-Loup ne s’attend pas à ce que le gouvernement fournisse une réponse avant quelques semaines.

«Moi je pense que la crainte du gouvernement c’est par rapport à la semaine de la relâche. Ils veulent regarder ce qui va arriver avec ça. Si on est capable de commencer la saison au mois de mars jusqu’à la fin de juin, on aurait un beau trois mois de hockey et on a du monde prêt à s’impliquer», a commenté le président de Hockey Rivière-du-Loup, Bruno Pelletier.

«Oui, moi j’ai la chance d’embarquer sur la glace avec le midget AAA et les sports-études, mais on sait que les jeunes au civil ne peuvent pas embarquer le soir. On ne voulait pas que ces jeunes-là se sentent oubliés. On veut que tout le monde puisse toucher à la glace. On veut que ce soit sécuritaire et qui ne sera pas propice à la propagation, mais en ce moment avec les chiffres qu’on a, tout porte à croire qu’on peut embarquer sur la glace». a expliqué l’entraîneur-chef des Albatros, Mike Maclure.

Rappelons que les dernières mesures d’assouplissements de Québec n’incluent pas la reprise des activités pour les associations de sport civil contrairement à ce qui était auparavant permis en zone orange.

Vous pouvez lire ci-dessous la lettre en question.