Une explosion provoque un blessé à Petite-Rivière-Saint-François
Publié le 29 juin 2021 à 17:17, modifié le 29 juin 2021 à 17:17
Par: Jérôme Gagnon
Un travailleur a subi de graves brûlures hier sur un chantier résidentiel à Petite-Rivière-Saint-François. Une violente explosion est survenue, la maison en construction a été complètement détruite.
Il ne reste que des décombres. L’un des ouvriers, qui travaillait à l’intérieur de cette résidence, a été brûlé sur plus de 60 % de son corps lorsqu’une explosion s’est produite.
« Personnellement je n’ai pas vu l’individu qui avait subi des blessures. Il était encore sur place, mais c’est les paramédicaux qui étaient après s’en occuper pour l’amener à l’hôpital ». a mentionné le chef pompier de Petite-Rivière-Saint-François.
« Le travailleur un homme âgé dans la cinquantaine a été transporté vers un centre hospitalier et on ne craindrait pas pour sa vie », a indiqué la porte-parole de la Sûreté du Québec, Hélène St-Pierre.
La déflagration est survenue lors de la pose d’un tapis dans le sous-sol du bâtiment. La colle utilisée aurait dégagé des vapeurs, très inflammables.
« Hum on prétend que c’était la colle tout ça qui a fait explosion il nous manque toujours l’étincelle c’est quoi qui a fait allumer ça prend quelque chose pour la faire allumer ça on ne sait pas encore ». a ajouté M. Simard
« On sait que lorsque la pose de papier là notamment y a des colles qui sont utilisées des solvants donc il est trop tôt pour déterminer la cause de l’accident, mais c’est certain qu’on parle possiblement d’un accident de travail », déclare le responsable au communication de la CNESST, Alexandre Dumont.
Lors de l’arrivée des pompiers du service d’incendie de Petite-Rivière-Saint-François il n’y avait rien à faire les flammes s’étaient emparées du bâtiment et on peut voir justement le résultat
« Quand on est arrivé, il n’y avait plus de chance aux bâtiments parce que le feu c’est vraiment un feu éclaté c’était partout partout partout», dit le chef pompier de la municipalité de Charlevoix.
La CNESST poursuit son enquête.