La région de l’Est-du-Québec sera représentée par une délégation de 116 athlètes. Du groupe, on retrouvera Amélia St-Pierre de Rivière-du-Loup qui sera des compétitions de badminton.

On se souvient d’Amélia qui avait porté le flambeau lors de l’ouverture des Jeux à Rivière-du-Loup il y a un an. La jeune étudiante du Collège Notre-Dame était revenue avec une médaille de bronze en double en compagnie de Béatrice Proulx chez les benjamines.

Cette année, la compétition sera différente alors qu’Amélia est passée chez les cadettes :

« Un peu moins fort parce qu’on n’a pas les juvéniles c’est sûr qu’on s’attend que le niveau doit être aussi un peu plus bas euh on s’attend à rien de moins qu’avoir du plaisir c’est sûr que nos objectifs étaient sur un peu plus plus bas ».

Amélia St-Pierre est plus terre-à-terre quant à ses attentes à Sherbrooke; elle qui jouera en simple, en double et en équipes :

« C’est sûr que cette année comme je disais ça va être différent de ce que j’anticipe mon Dieu qu’est-ce que j’anticipe. Je vais faire ce que je peux c’est ça la perfection ça va être dur à avoir, mais de faire de mon mieux ».

La joueuse de 15 ans est encore fière de représenter sa région et ses attentes sont réalistes pour la finale provinciale en badminton qui se déroulera du 2 au 5 mars :

« Au badminton je penserais que le par équipe on va être pas mal dans le milieu ce ne sera pas dans les plus forts, mais on ne sera pas non plus dans les plus faibles on a une bonne équipe quand même. ».

Son souvenir de l’an dernier est toujours présent. Le fait de porter le flambeau représentait un honneur pour elle :

« J’ai été choisie par justement l’esprit Québec parce que j’étais dans les plus jeunes avec mon c’est sûr que la bonne c’est dur à rentrer dedans justement si on a justement juste 3 filles qui peut rentrer et parce que j’étais la plus jeune benjamine qui devait se qualifier contre les juvéniles c’est sûr que ça a été un honneur pour moi de pouvoir porter le flambeau que je me je me sens encore dire aujourd’hui tu ne serais pas la fille qui fait le plomb oui c’est moi ».

Amélia St-Pierre veut s’adonner à son sport encore longtemps soit au Cégep et à l’Université avant d’entreprendre une carrière dans les sciences :

« Un côté scientifique parce que mon père il est dans cet univers-là donc j’aime beaucoup ça aussi peut-être, je ne sais pas physio ».