Il explique que « la façon que la Ville de Rivière-du-Loup se sert de cette structure-là » le met à l’écart et nuit aux entrepreneurs locaux.

Depuis quatre ans, M. Bérubé tente de discuter de cette situation avec la municipalité, mais il affirme que ses demandes sont ignorées. « Je suis un payeur de taxes, je prête même mes terrains à la ville pour qu’ils effectuent leurs travaux », souligne-t-il, mettant en lumière son engagement envers la communauté.

Pour contester cette politique, il a consulté un avocat, qui lui a indiqué que « la législation n’impose pas l’adhésion à une association pour obtenir des contrats ». M. Bérubé estime que cette exigence va à l’encontre de la libre concurrence et qu’il ne devrait pas être mis de côté. Malgré sa frustration, il cherche à éviter la confrontation, affirmant : « Je ne veux juste pas me faire des ennemis pour rien non plus, et puis je veux juste prendre ma part du gâteau, et je pense qu’elle devrait me revenir ».

La Ville de Rivière-du-Loup a été sollicitée pour commenter cette situation. Un porte-parole a indiqué qu’une réponse serait communiquée prochainement, en raison de la complexité du dossier.