Un trajet par secteur, entre Matapédia et Gaspé, avait été choisi, à bord duquel un policier prenait place pour observer le comportement des élèves qui entrent et descendent du bus afin de prodiguer des conseils de sécurité. De plus, une auto-patrouille suivait l’autobus jaune pour épier les habitudes des automobilistes et des camionneurs autour du transport.

« Et pourquoi le 5 novembre? On sait que c’est le changement d’heure… Les jeunes vont descendre de l’autobus, il va commencer à faire noir. On a aussi la neige qui s’en vient. Ce sont tous des facteurs qui peuvent occasionner des risques d’accident. C’est donc pour ça qu’on a voulu faire cette organisation-là », mentionne le président du Comité de sécurité en transport scolaire Gaspésie-Sud, Pierre Dugas.