Le projet sera désormais sous la responsabilité de CDPQ Infra. L’entreprise Alstom a confirmé qu’elle pourra répondre aux nouvelles exigences techniques du projet, tout en maintenant des coûts comparables à ceux du contrat initial, qui était de 569 millions de dollars. Cette entente permettra de préserver des emplois à l’usine du Kamouraska, de miser sur l’expertise locale et aussi, d’éviter un nouvel appel d’offres.

« Dans le contexte politique et économique actuel, il faut miser autant que possible sur notre contenu local et notre savoir-faire. Notre gouvernement accorde une grande importance aux retombées économiques de ce projet, et cette entente va permettre de préserver des emplois de qualité au Québec, notamment à l’usine d’Alstom de La Pocatière. », affirme la ministre des transports, Geneviève Guilbault.

Une « excellente nouvelle » pour la région

« C’est une excellente nouvelle pour notre région et pour les travailleurs et travailleuses de l’usine d’Alstom à La Pocatière. Cette entente garantit non seulement la continuité des emplois, mais démontre aussi la confiance que le gouvernement et ses partenaires accordent au savoir-faire et à l’expertise développés ici, chez nous. », explique Mathieu Rivest, député de Côte-du-Sud.

« Cette annonce est une excellente nouvelle pour le Bas-Saint-Laurent. Elle illustre parfaitement notre volonté de mettre en valeur l’expertise régionale et de faire rayonner nos entreprises au coeur de grands projets québécois. », exprime Maïté Blanchette Vézina, ministre responsable du Bas-Saint-Laurent.