Dans les dernières semaines, des pulvérisations aériennes d’insecticide biologique ont été effectuées sur plus de 12 mille hectares. La Société de protection des forêts contre les insectes et maladies se dit satisfaite. Des relevés seront réalisés cet automne pour mieux évaluer l’étendue des dommages.  Le terrain accidenté de Charlevoix a posé certains défis techniques aux pilotes, qui doivent voler à environ 50 pieds au-dessus de la cime des arbres.

« On a dû limiter la quantité d’insecticides la biologique là qui était qui était mis dans les avions pour limiter le poids des avions parce que bon y a des virages assez serrés doivent être effectués faut comprendre que c’est une première année d’apparition la de la tordeuse des bourgeons de l’épinette en Charlevoix donc on est probablement là et certainement là pour les années à venir parce que comme on le sait quand la tordeuse colonise une région normalement elle est là entre 10 et 15 ans ». expliquait Éric Lacroix  directeur général de la  SOPFIM.

Il est fort probable que l’épidémie prenne de l’ampleur, étant donné qu’elle en est à ses débuts.