Le Festival est possible grâce à la collaboration entre la Première Nation malécite de Viger et le Festival historique de Cacouna. Cette édition de l’évènement a attiré près de 4000 visiteurs.

Lors de cette fin de semaine,  plusieurs attraits étaient offerts , dont quelques kiosques artisanaux et ateliers créatifs, des spectacles de musique et de chants traditionnels, des dégustations de mets typiques, puis des conférences.

Il s’agit d’une façon de contrer les préjugés qui perdurent encore aujourd’hui et d’unir deux nationalités différentes en une seule et même fête. Pour le chef conseiller à la Première Nation malécite de Viger, Kevin Morin, le Festival permet aussi à la population de renouer avec leur famille.

«Il y a des gens qu’on voit parfois une fois par année, donc cet événement-là est super important pour nous. C’est historique, dans le temps il y avait des rassemblements annuels des peuples, donc c’est un peu la façon moderne de maintenir la culture du temps», dit-t-il.