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Nathalie Leclerc est très préoccupée par le développement économique de sa région

Publié le 18 septembre 2018 à 16:00, modifié le 18 septembre 2018 à 16:00

Par: Communique de presse

La candidate du Parti Québécois, Nathalie Leclerc, est très préoccupée par le développement  économique de notre région. Déjà, depuis le début de sa pré-campagne, elle est intervenue pour communiquer sa vision de l’avenir du tourisme et de l’agriculture tout en insistant sur le rôle des PME et le pouvoir des régions pour dynamiser notre économie. À la quatrième semaine de sa campagne électorale, elle présente un volet important du programme de son parti qui est de faire de notre circonscription, une région davantage entrepreneuriale. De plus, elle profite de l’occasion pour avancer quelques mesures dans le but de soutenir le secteur forestier, champ d’activités en difficulté depuis une quinzaine d’années.

Pour réaliser un tel projet, deux actions seront privilégiées par un gouvernement péquiste. Il mobilisera le capital collectif de notre société pour constituer un fonds d’investissements régionaux dans le but de financer des initiatives, des projets régionaux. Il est aussi opportun de renforcer, de stimuler une culture entrepreneuriale.

Dans le but de permettre la naissance d’un fonds d’investissement régionaux (FIR), il faudra mobiliser le Fonds des générations, la Caisse de dépôt et de placement du Québec, le fonds de solidarité, le mouvement Desjardins pour atteindre l’objectif convenu.

En vue de stimuler la culture entrepreneuriale, on prévoit valoriser le mentorat et la multiplication des groupements d’entrepreneurs. Les ressources des commissions scolaires, des CEGEP et des universités seront appelées à offrir des cours sur mesure pour habiliter les futures femmes et les hommes d’affaires à démarrer et à gérer le développement de leur entreprise. Des politiques favorisant l’accès aux marchés éloignés seront préconisées.

Ces mesures pourront contribuer, entre autres, à soutenir le secteur forestier en régression depuis plusieurs années. Évoquons la fermeture du moulin de papier à Beaupré, la réduction des activités du moulin de papier à Clermont et celle de la scierie à St-Hilarion. Plus précisément, on souhaite mettre sur pied un programme  de soutien de la connaissance de la forêt, de la culture forestière et des métiers liés à la forêt et à l’industrie forestière. On désire intensifier les travaux sylvicoles. On créera un fonds de démarrage d’entreprises liées au secteur de la forêt notamment en utilisant le modèle coopératif. On encouragera la commercialisation de produits de consommation innovateurs à base de bois.(tissus, médicaments, lunettes…). Des tarifs préférentiels seront offerts aux scieries.

Au cours de sa tournée, Mme Leclerc, a relevé l’influence des PME sur notre économie locale et l’esprit de créativité et d’innovation de plusieurs entrepreneurs locaux. Comme l’économie et les besoins du marché évoluent rapidement, elle entretiendra un dialogue constant avec ces entrepreneurs en vue de soutenir les entreprises déjà existantes qui ont obtenu des succès forts intéressants. « Mon intérêt sera, bien sûr, porté à susciter la création de nouvelles entreprises mais aussi à maintenir celles qui sont présentes (Fibrotek, Simard-Suspension…) » affirme-t-elle.