Musée du Bas-Saint-Laurent : Expositions et activités de création
Publié le 1 octobre 2024 à 18:50, modifié le 1 octobre 2024 à 18:50
Par: Francis Gallant

Le musée du Bas-Saint-Laurent propose différentes activités de créations et fait aussi appel aux gens de la région.
Les idées foisonnent et les projets tous autant. Par exemple, il y a un appel de projet en cours, pour une nouvelle exposition qui aura lieu à l’été 2025. C’est en lien avec les œuvres photographiques de Marie-Alice Dumont, la photographe native de Saint-Alexandre. On fait appel aux gens qui pourraient offrir des témoignages ou qui auraient des histoires à partager sur la première photographe professionnelle de l’Est-du-Québec.
« On recherche des gens qui se seraient fait prendre en photo par l’artiste dans sa résidence de Saint-Alexandre», débute Marie-Claude Joly, responsable des communications au musée du Bas-Saint-Laurent
Le musée souhaite également stimuler la créativité de toutes les générations dans le cadre d’ateliers de création cet automne.
« Petit, grand , famille, ainées, etc. Ce sera un moment de rencontre où l’on vient créer. On n’a pas besoin d’être artistes pour ça. C’est juste un moment où on va s’exercer alors c’est un jeudi par mois, suivez nos réseaux sociaux ou notre site internet pour en savoir davantage. Ça risque d’être bien intéressant », souligne, Mélanie Girard, la directrice générale du Musée du Bas-Saint-Laurent.
L’institution muséale a lancé il y a un mois le Concours Poésie-Fleuve à colorier, Fleuve à inspirer! C’est pour supporter les œuvres de l’artiste Chloé Giroux Bertrand qui s’est inspiré du fleuve Saint-Laurent, cet été, pour réaliser des œuvres tous le long du littoral. Il a pris fin hier. Les différents poèmes sélectionnés accompagneront l’exposition extérieure l’an prochain.
« C’est que ces œuvres-là seront exposées dans le parc du Campus-et-de-la-cité l’été prochain et on vouait que les gens aient la chance de s’exprimer sur leurs rapports au fleuve. Donc on le voit par le visuel de Chloé Giroux-Bertrand, mais les mots peuvent être très évocateurs », termine Mélanie Girard.