Le Témiscouatain participera à un camp d’entraînement de deux semaines aux États-Unis débutant à la mi-mai. Il s’est blessé à un pied en s’entraînant la semaine dernière et n’avait pu se rendre à Québec samedi dernier pour la première étape du processus de sélection.

C’est donc jeudi qu’il a été lancer devant l’entraîneur Patrick Scalabrini à Québec. Il se dit peu satisfait de ce qu’il a pu démontrer. L’artilleur des Braves devra se présenter à New York avec la même mentalité qui lui avait permis de créer une surprise au camp des Capitales en 2019.

À 28 ans, Paradis-Giroux compte se servir de son côté compétitif pour montrer qu’il a sa place à ce niveau.

«Il va falloir que je prouve que je suis l’un des meilleurs dans le baseball indépendant si je veux poursuivre ma carrière. Le camp sera important pour moi et si ça va moins bien ou que je me fais retrancher, ça se peut très bien que ce soit la fin de ma carrière professionnelle», mentionne-t-il d’un ton ferme.

Vous pouvez visionner ci-dessus les meilleurs moments de notre entretien avec Paradis-Giroux.