Plus de 30 de joueurs se sont rapportés à l’instructeur chef Simon Olivier pour tenter de se tailler une place dans le vestiaire du Blizzard. Le camp représente un grand laboratoire d’évaluation et on a demandé au patron hockey ce qu’il désirait de ses joueurs.

«On veut voir le niveau de compétition, on veut voir la persévérance. On regarde aussi bien sûr le niveau d’habileté, mais pour moi ce qui se passe au-dessus des épaules, c’est important. Est-ce des joueurs qui jouent avec un sens du jeu et qui jouent avec leur tête ou ce n’est pas le cas. C’est une des choses principales qu’on évalue mais il y en a aussi plein d’autres.»

Le pilote du navire du Blizzard, Simon Olivier en sera à une 2^e saison derrière le banc de l’équipe. Il a guidé Edmundston en grande finale l’an dernier et cette année, il aura de nouvelles responsabilités avec le rôle d’adjoint au directeur général.

«Nouvelle responsabilité, mais chaque année, on recommence à zéro. Les vétérans reviennent mais chaque saison, il y a un style d’équipe différent puisque les joueurs sont différents. Pour nous, le groupe d’entraîneur, on doit s’ajuster et s’adapter avec ce que nous avons. En fin de semaine, les premières parties, ce sera plus les jeunes qui vont jouer et tous les gars au hockey décident de leur avenir avec le jeu qu’ils nous montrent.»