Cinq des sept candidats étaient présents. Seuls le Parti Vert et le part Citoyens au pouvoir brillaient de leur absence.

C’est sous les thèmes de l’autonomie, la justice sociale et le soutien financier que les candidats devaient se prononcer. Ils avaient chacun trois minutes pour faire valoir leurs points.

La caquiste Hélène Desaulniers n’a pas manqué de souligner l’apport indirect du milieu communautaire au système de santé. Elle compte s’attaquer à la décentralisation pour assurer une autonomie aux groupes communautaires.

François Whittom, du Parti Libéral, ne s’est pas engager sur aucun point. Il assure toutefois bien connaître le fonctionnement du milieu, lui qui a œuvré au sein des différents ministères qui procure le financement au monde communautaire.

De son côté, Catherine Cyr Wright, de Québec Solidaire, est allé de plusieurs promesses qui font parties de la plateforme de son parti, comme l’augmentation des prestations de l’aide sociale et l’implantation de nouveaux logements sociaux, entre autres.

Pour combler l’absence de Sylvain Roy, le porte-parole du Parti Québécois en matière de lutte à la pauvreté et de la solidarité sociale, Harold Lebel était présent. Dans un discours empreint d’émotions, il a dit vouloir assurer une autonomie au milieu communautaire, en plus de les impliquer dans la prise de décision. Il souhaite aussi améliorer les conditions de travail du personnel.