C’est une quinzaine d’enquêteurs qui ont été dépêchés à Cacouna. « Nous avons réalisé cette opération-là dans les cadres d’une enquête en cours concernant une fraude à Saint-Simon-de-Rimouski. », confirme Mathieu Galarneau, porte-parole de l’UPAC.

La résidence de Fanny Beaulieu Saint-Laurent et les deux véhicules qui s’y trouvaient étaient visés par l’ordonnance. Les propriétaires ne peuvent donc plus vendre leur domicile, mais ils peuvent toujours l’habiter. Selon Mathieu Galarneau, « éventuellement, s’il est prouvé que la résidence est un produit de la criminalité, elle pourrait être, à ce moment-là, saisie. »

L’UPAC refuse d’émettre des commentaires sur l’enquête en cours afin de protéger la réputation des personnes qui pourraient être impliquées.