Après 17 ans à raconter ses histoires de chasse à travers l’Est du pays, L’Homme Panache tire sa révérence. Il vient tout juste d’entamer sa dernière tournée qui promet d’en mettre plein la vue.

« C’est le meilleur spectacle que j’ai donné à date. C’est le retour du record du monde grosseur réel dans tous les spectacles et j’apporte dix de mes plus gros panaches qui vont être directement dans les salles », explique Réal Langlois.

Réal Langlois présente aussi ses plus récents films, tournés un peu partout au Canada. Accompagné de son équipe et de sa compagne Nancy Bourgelas, alias Miss Panache.

« On a fait le Yukon, le Nouveau-Brunswick, la Saskatchewan, Terre-Neuve, Gaspésie. On montre ça sur écran géant et on a encore vraiment des scènes à couper le souffle », mentionne l’Homme Panache.

« Moi l’expérience au Yukon, un orignal qui vient à moins de 15 pieds de moi quand je suis entrain de filmer, j’ai bien aimé mon expérience », se souvient Nancy Bourgelas.

Fidèle à lui-même, on peut s’attendre à de nombreuses anecdotes savoureuses.

« J’ai tiré avec un 338 Lapua un orignal qui dépassait les 1000 verges. C’est tout filmé, c’est vraiment quelque chose de spécial à voir », raconte-t-il.

Et question de partir sur une note festive, Réal Langlois a fait appel au chanteur country Louis Bérubé. C’est ainsi qu’est né le party du chasseur.

« Ça va mousser toute la gang à l’Homme Panache et je pense que c’est un beau défi et d’avoir pensé à moi, c’est certain que c’est flatteur », admet le populaire chanteur.

« Donner une ambiance vraiment qui dit on finit ça en beauté et faire plaisir un peu à mon public. C’est un peu un dessert que j’apporte », termine Réal Langlois.

Après Rivière-du-Loup, la dernière tournée de l’Homme Panache s’arrêtera à Edmundston le 23 février et à Saint-Hilarion le 14 avril.