La députée de Charlevoix–Côte-de-Beaupré a pu s’entretenir avec plusieurs résidents qui revivent le cauchemar, quelques semaines seulement après les inondations du 1^er mai. Elle reconnaît la lourde pression psychologique et financière à laquelle ils font face.

Kariane Bourassa croit aussi que dans la reconstruction, il faut prendre en compte ces changements climatiques, qui amèneront encore plus de catastrophes naturelles. Il devient nécessaire d’adapter nos municipalités aux nouvelles réalités météorologiques.

« C’est toujours à la même place. Puis, ça va nous amener aussi à réfléchir à la manière dont on répare et on entretient nos infrastructures, parce que Léo-Cauchon est tout le temps inondé. Ce n’est pas la première fois. Et là, il va falloir penser : est-ce qu’on le refait d’une autre façon pour éviter qu’à chaque fois qu’il y a des coups d’eau on ait à le refaire? », explique-t-elle.