« Toute la structure a été mise en place, la recherche par rapport aux aînés francophones, mais les initiatives sont en branle depuis janvier 2021. Ça fait que de Edmundston jusqu’à Saint-Jean Terre-Neuve, à Terre-Neuve – Labrador, on a des initiatives pour accroître l’inclusion sociale des personnes aînées. » raconte Steve Theriault, coordonnateur du projet.

Le projet Impact-Aîné.e.s collabore avec quatorze organismes à travers les provinces atlantiques.
« C’est eux qui font les initiatives avec les aînés francophones en Atlantique. » souligne Karenne Levesque Savoie, gestionnaire du projet.

Grâce à ce site Web, on peut en apprendre davantage sur les réussites et les succès initiés par les personnes aînées. Et, ils sont nombreux.
« C’est vraiment un site pour donner une meilleure idée de qu’est-ce que c’est le projet. Un des objectifs d’Impact aînés c’est justement de projeter une image positive sur la contribution des aînés et sur le vieillissement. Puis avec toute la belle information qu’on avait recueillie, on s’est dit qu’on doit partager ça à la population. » précise Karenne Levesque Savoie.

« C’était la première fois qu’ils se rencontraient entre eux étant donné la Covid puis vraiment ça a été un beau succès, ils étaient contents de se voir puis ils étaient contents de partager toutes les initiatives qu’ils ont eu. Tout le gros impact qu’ils faisaient avec Impact aînés. » décrit Steve Theriault.

Dans ce projet, du soutien financier est offert pour la réalisation d’initiatives ayant une influence positive sur la vie des aînés et leur collectivité.
« Que ce soit sur le marché du travail, que ce soit dans différentes sphères comme le bénévolat, les aînés sont très actifs au niveau d’être proches aidant. Il y a aussi toute la question de transmission de la langue française. » cite Karenne Levesque Savoie.

« À Terre-Neuve et Labrador, exemple, ils font des entrevues avec des jeunes, avec des aînés, puis l’aîné transmet sa culture puis ces choses-là, puis par la suite ils font des petits livres qui vont être distribués dans les écoles puis dans les bibliothèques. Ça fait que pour la pérennité du projet c’est vraiment intéressant. » dit Steve Theriault.

Maintenant que le site est en place, les contributions des ainées francophones des régions de l’Atlantique ne passeront plus inaperçus.