Luc-Reno Fournier était en cour jeudi pour une enquête préliminaire. Il fait face à des chefs d’accusation d’agression sexuelle et de harcèlement. Les chefs de séquestration et de voies de fait armées se sont aussi ajoutés.

La présumée victime ayant une déficience intellectuelle légère a témoigné.

Ce qu’elle racontait c’est que l’accusé l’aurait forcée à faire des actes sexuels contre son gré. Il aurait manipulé les organes génitaux de la victime à au moins deux reprises.

La présumée victime aurait tenté de s’enfuir lorsque l’homme lui parlait d’actes sexuels, mais ce dernier l’aurait retenu en l’entourant de ses bras.

Luc-Reno Fournier l’aurait également menacé si elle le dénonçait ou en parlait à qui que ce soit. La présumée victime a dit ne pas se sentir en sécurité.

Les événements se seraient déroulés à l’été 2017, à 2 ou 3 reprises, toujours selon la présumée victime.

Le juge a décidé qu’il y aura un procès pour cette affaire les 23 et 24 octobre.