Le ministre des Transports, André Fortin affirme qu’environ 65% de l’ensemble du projet sera réalisé en sol canadien, mais rien n’est confirmé pour la construction du matériel roulant à la grande déception du Parti québécois.

«Je n’ai pas de difficulté à ce qu’on fasse un appel d’offres ouvert à toutes les compagnies du monde, et que l’une ou l’autre gagne, dans la mesure où le train est construit en sol québécois», affirme le chef du Parti québécois, Jean-François Lisée.

Selon le chef, les chances de Bombardier aurait été meilleures si le gouvernement avait exigé que 50 % du matériel roulant soit construit en sol Québecois. La Pocatière aurait donc eu de meilleures chances de participer à la construction de ce grand projet.