Essoufflement dans les centres d’appels d’urgence de la SQ
Publié le 22 septembre 2022 à 15:49, modifié le 22 septembre 2022 à 15:49

Le syndicat qui représente les travailleurs qui œuvrent dans les services d’appels d’urgence de la Sûreté du Québec demande une amélioration des conditions de travail. Selon eux, les salaires plus bas que dans le secteur municipal contribuent à accentuer la pénurie de main-d’œuvre dans le domaine
Le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) demande au gouvernement des conditions et des incitatifs financiers similaires aux agents du 9-1-1.
Le personnel en place doit effectuer du temps supplémentaire pour combler le manque d’employés. Lors de volumes d’appels trop importants, des appelants doivent être redirigés vers d’autres centres
« Quand on est habitué de travailler dans un secteur puis un citoyen qui appel et qui est nerveux et il ne sait même pas ou il est. On essaie de le faire parler pour savoir à quel endroit il est. Des fois régionalement il va nous donner des endroits que les gens de l’extérieur ne pourront pas connaitre », illustre la présidente régionale du SFPQ, Céline Bonneau.