4 candidats, avec des âges et des parcours différents. Les électeurs auront le choix. Jean-Marc Bergeron, retraité, ancien journaliste. Étienne Deschênes, entrepreneur culturel et travailleur en éducation. François Dumas, travailleur du domaine acéricole. Et Sandra Gauthier, enseignante au secondaire. Que feront-ils s’ils sont élus, quels sont leurs engagements?

« Travailler à l’écoute des citoyens, et travailler à ce que la ville avance », avoue Jean-Marc-Bergeron.

« Ce que je veux, c’est surtout de donner une voix aux citoyens du district 5. Depuis quelques années, ils n’ont pas trop été écoutés et ils ont perdu l’identité de la municipalité avec la fusion », a dit Étienne Deschênes.

«C’est de participer à enterrer la hache de guerre. On a l’impression qu’il y a un calme apparent, mais en réalité, il y a encore un feu qui court en dessous »,  de dire François Dumas. 

«Je dirais c’est la famille, et l’inter généralité. Pour moi ça part des enfants et ça va aux grands-parents »

Enjeux du district 5

«Parce qu’on a tendance à voir les choses qu’on n’a pas. Mais faut pas oublier les choses qu’on a », a poursuivi l’ancien journaliste.

«Il faut arrêter la dévitalisation du quartier, il n’y a pas longtemps il y avait 7 restaurants, il n’en reste que 2. Il faut réparer le centre communautaire, la salle Témiscouata, le centre PGR, on doit l’équiper afin qu’il puisse recevoir », a énuméré l’entrepreneur culturel.

«La ville s’engagerait à des investissements équitables sur les deux quartiers. Ça serait une façon de garantir la solidarité. La protection des berges, Il y a des modernisations de service à faire, éviter que la grogne reparte et que les taxes montent en flèche sur un quartier plus que l’autre, attirer les jeunes, les familles. Un quartier de Notre-Dame-du-Lac fort va contribuer à avoir un Témiscouata-sur-le-Lac fort. », a continué le développeur industriel.

«Je pense que l’église éventuellement va falloir regarder ce qu’on fait avec. On a l’épicerie du village. Les aliments sont plus chers et c’est un peu pénalisant pour les familles qui ne peuvent pas toujours se déplacer », expliquait pour sa part Stéphanie Gauthier.

Pourquoi voter pour eux?

« Je suis très disponible », a dit Jean-Marc Bergeron.

« Je suis une personne qui parlera d’eux au conseil », a souligné Étienne Deschênes.

«Écouter les gens, pour moi c’est super important, on représente la population », estime François Dumas.

« Parce que je suis positive. Et je pense que ça ferait du bien », a complété l’enseignante au secondaire. 

Vous pourrez voter pour votre candidat favori le 3 décembre par anticipation ou le jour de vote, le 10 décembre.