Pendant les prochains jours, les 12 membres de la Commission entendront près de quarante organisations et spécialistes québécois, canadiens et internationaux. Ceux-ci sont issus des domaines suivants : l’éducation, la santé, les services sociaux, la sécurité publique, le droit et le numérique. Le but de l’Assemblée nationale avec cette commission est d’étudier le temps que les jeunes consacrent aux écrans, les mesures d’encadrement autant à l’école que sur le web, l’accès aux réseaux sociaux, l’accès des personnes mineures à la pornographie sur le web, la cyberintimidation, les mécanismes visant à créer une dépendance et la publicité destinée aux enfants sur les applications. Certains membres de la commission iront à la rencontre des adolescents et du personnel dans les établissements scolaires.

« Je me réjouis de lancer officiellement ce vaste chantier. Toutes les propositions seront étudiées de façon à retenir les meilleures, soit celles au bénéfice des jeunes et des générations futures », affirme la présidente de la Commission et députée de Rivière-du-Loup–Témiscouata, M^me Amélie Dionne.

« Je suis heureux de voir les groupes parlementaires collaborer en vue d’aborder ces enjeux devenus incontournables dans notre société. Nous devons réfléchir ensemble à des mesures visant à limiter leurs effets néfastes », indique le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé.