Ce sont les conclusions du médecin psychiatre qui a évalué Simon Tremblay et qui juge que l’homme de 38 ans est aussi responsable des gestes qu’il a posés.

Le suspect a été accusé de voies de fait armées et par étranglement, de séquestration, de menaces et de trois autres chefs en lien avec l’utilisation d’une arme à feu.

Tremblay aurait déchargé une arme à feu lors d’une altercation avec une présumée victime qui heureusement n’a pas été blessée gravement.

Les événements sont survenus dans un chalet dans la Zec de la Grande-Rivière.

Son dossier sera de retour vendredi au palais de justice de Percé.

Entretemps, son avocat, Me Yves Desbiens, doit faire des démarches pour trouver une maison de thérapie.