Les journalistes sont impartiaux, mais il a un faible pour les moineaux, qu’il suit depuis le début de la saison pour le Journal de Montréal

«L’histoire des Alouettes cette année, c’est un véritable film, donc c’est très difficile de ne pas leur souhaiter la victoire!»

Il a fait diverses entrevues depuis le début de la semaine. L’une d’entre-elle avec Marc-Antoine Dequoy l’a particulièrement marqué.

«Il m’a parlé de sa mère qui est décédée l’an dernier et il pense beaucoup à elle avant chaque match. Il porte une chaîne en or que sa mère lui a laissée, et il relit des textos de sa mère avant tous les matchs.»

Le décès de Karl Tremblay a même résonné jusqu’à Hamilton, cette semaine : «Une phrase que Marc-Antoine Dequoy a dite dans l’entrevue : le deuil c’est universel. J’étais en train d’écrire ce texte-là, quand j’ai reçu l’alerte que Karl Tremblay était finalement décédé.»

Le Pistolois connaissait le chanteur des Cowboys Fringants : «Suffisamment pour jouer au jeu Rock Band dans son salon, je connaissais Karl et c’est sûr que c’est venu affecter la semaine.»

Benoit Rioux pourra ajouter la grande finale de la ligue canadienne de football à son tableau de chasse médiatique.

«La Coupe Grey pour la première fois, c’est quelque chose qui m’apporte beaucoup et je me considère chanceux de pouvoir le faire. Justement, vu que c’est la première fois, je découvre plein de choses. Ça me fait penser à ma première couverture olympique à Vancouver.»