Prévisions météo
État des routes
Marées
Faire défiler
Faire défiler
Faire défiler

Nouvelles

Coupe du Monde de rugby : Grande étape dans la jeune carrière de Justine Pelletier

Publié le 8 septembre 2022 à 17:24, modifié le 8 septembre 2022 à 17:24

Par: CIMTCHAU

Justine Pelletier est en liesse depuis qu’elle a obtenu sa place au sein de l’équipe nationale féminine de Rugby en vue de la Coupe du Monde. L’athlète native de Rivière-du-Loup s’envole, ce week-end, pour un dernier camp préparatoire à Vancouver avant de prendre le chemin des Îles Fidgis pour quelques matchs avant d’entamer le prestigieux tournoi en Nouvelle-Zélande. Celle qui évolue avec une équipe professionnelle à Bordeaux, en France, entend profiter pleinement de cette expérience, qui la fera grandir comme joueuse de rugby.

Justine Pelletier est encore sur un nuage. Elle a trimé dur, mais elle a finalement obtenu sa place avec l’équipe nationale pour la Coupe du Monde de rugby.

 «C’est clairement un honneur, je suis super contente, j’ai travaillé, mais aussi toute l’équipe a travaillé fort, c’est un honneur et je suis très excité pour la suite.»

Dirais-tu que c’est l’aboutissement d’un rêve depuis que tu t’es lancé dans ce sport-là ?

«Ce n’est pas l’aboutissement, mais plus la continuité d’un rêve parce que ce n’est une fin pour moi cette sélection, déjà il faut la jouer, il reste encore 5 et même 6 gros matchs de préparation, c’est bien beau de faire l’équipe, mais maintenant il faut performer sur le terrain, donc pour moi c’est une continuité et en plus je suis encore jeune, j’ai plein d’années devant moi.»

Comment vous voyez le tournoi, l’équipe canadienne, est-ce que l’objectif c’est carrément de terminer avec une médaille ?

«Oui, c’est la médaille, le Canada par le passé a bien fait, une deuxième place en 2014 et une cinquième place en 2017, et on est toujours top 3 ou top 4 sur la planète.»

Ton rôle au sein de l’équipe va ressembler à quoi ?

«C’est sûr que c’est d’amener une énergie à l’équipe sur le terrain, je suis reconnue pour être une joueuse assez active et dynamique donc c’est d’amener toujours une agressivité.»

On est sur le terrain ou tu as déjà joué avec les garçons, avec les Guerriers, quand tu as commencé à jouer au football, croyais-tu que tu allais dévier vers le rugby et par la suite participer à la  Coupe du Monde ?

«C’est toujours spécial de revenir, ici, car c’est vrai que c’est mes premiers pas vers le sport de contact, justement le rugby est arrivé un peu grâce au football. Je voulais continuer dans cette lignée-là, un sport collectif avec plein de monde et du contact.»

Celle qui disputera sa troisième saison après la Coupe du Monde avec une équipe professionnelle à Bordeaux, en France, n’a pas oublié d’où elle vient.