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Coup d’oeil sur les travaux au Parc des Hautes-Gorges

Publié le 11 juillet 2018 à 15:28, modifié le 12 juillet 2018 à 09:36

Par: CIMTCHAU

Québec a confirmé en novembre dernier que le Parc national des Hautes-Gorges-de-la-Rivière-Malbaie serait finalement électrifié, ce qui allait permettre son ouverture à l’année. Notre équipe est allée constater l’avancement des travaux.

Alors que les touristes se font nombreux ces jours-ci, le Parc National des Hautes-Gorges prépare déjà ses installations pour son ouverture à l’année, dès décembre prochain. Cinq chalets quatre saisons de type Écho ont été construits et d’autres sont à venir, tout comme des refuges.

«C’est un défi de faire sortir les Québécois l’hiver mais on pense qu’on a vraiment un produit d’attrait. On est déjà victime de notre succès présentement durant la haute-saison. Il y a très peu de disponibilité du côté des Hautes-Gorges», se réjouit le directeur du Parc, Daniel Groleau.

Hydro-Québec installera prochainement la ligne électrique sur 23 kilomètres. Pour conserver la vue, le maximum a été fait pour que les fils soient le moins visibles possible.

«De Saint-Aimé-des-Lacs, à partir de l’Auberge du relais des Hautes-Gorges jusqu’au centre Le Draveur. Hydro-Québec devrait s’apprêter à partir en appel d’offres pour la réalisation. On parle de déboisement, implantation de la ligne, au cours des prochaines semaines», explique-t-il.

L’hiver, c’est au Centre Le Draveur que se fera le point de départ des activités de fatbike, de raquettes, d’escalade, et de patins sur la rivière Malbaie.

 

«On va faire un chemin qui va s’avancer sur la rivière Malbaie. On ne sait pas jusqu’où on va être capable d’aller. On aimerait ça se rendre jusqu’au Refuge, c’est huit kilomètres. Ça va être quand même amusant de patiner là-dessus», assure Daniel Groleau.

Caroline Simard a également annoncé un investissement de 1,3 millions de dollars pour bonifier l’offre du camping du Cran.

 

«On parle de l’électrification du site et également l’ajout de dix unités de prêts à camper, ainsi que la mise en place d’une voie d’évacuation pour le sentier de l’Acropole des Draveurs. C’était une préoccupation qui a été exprimée dans la région», confirme la députée.

«Donc plus facile d’amener civières ou équipements en quatre-roues. Et il reste environ 800 mètres à compléter pour aller jusqu’au sommet. On se donne quelques années, environ deux ans, pour le réaliser», ajoute Daniel Groleau.

Ce montant s’ajoute au 9,2M$ annoncés en novembre 2017, qui permettent l’ouverture à l’année du site.