Chaleur B chocolat de Carleton-sur-Mer existe depuis 9 ans. Au début, le producteur avait de la difficulté à atteindre un niveau de qualité comparable aux meilleurs fabricants internationaux. Mais depuis 5 ans, ses produits se démarquent.
« On gagne des podiums, on gagne des médailles, puis on gagne aussi au niveau mondial. Donc à chaque année pour nous c’est toujours excitant. » énumère Dany Marquis.

« Pour moi c’est vraiment un honneur qu’on a gagné ces prix-là, parce qu’on représente surtout la province du Québec, et puis pour moi ça me tient vraiment à cœur. » exprime Frederike Belair, cheffe pâtissière et chocolatière chez Chaleur B Chocolat.

Cette année, l’entreprise a gagné 7 médailles à la classification des Amériques. Elle sera donc de la finale en Italie en octobre. Des reconnaissances qui reflètent la fidélité des consommateurs.
« C’est magnifique les sélections qu’ils peut faire à travers les pays du monde pour avoir du chocolat comme ça. » dit un consommateur.

« Je suis plutôt un fan de chocolat blanc en général. C’est celui-là que j’ai essayé. Je l’ai trouvé très bon. » précise un friand.

« Je suis de Drummondville, donc on commande presque à chaque mois notre café puis notre chocolat. » dit une amatrice.

Paolo est fabricant de machine pour chocolat en Italie. Venu installer de nouveaux équipements à l’atelier de Carleton, il classe les chocolats de Chaleur B dans le top 7 de ses préférences.
« C’est un chocolat avec un bon caractère, il respecte quand même beaucoup la matière première, ça veut dire que les fèves ne vont pas être brûlé, c’est une torréfaction très douce. Ça va sauvegarder les goûts des fruits qui poussent autour de la plantation du cacao. » décrit Paolo De Carolis, fabricant de machine pour chocolat pour Ideotechnica.

La provenance du cacao détermine le profil aromatique. Avec les nouveaux équipements, on peut tendre vers un raffinement à la hauteur du marché mondial.
« Avant on travaillait avec des équipements un peu rustiques, donc on se débrouillait quand même bien pour gagner des prix avec des équipements qu’on avait. Mais là on a des équipements de classe mondiale. » raconte Dany Marquis.

« Ça va nous pousser à vouloir faire encore de meilleurs chocolats. » dit Frederike Belair.