En traçant le bilan des derniers mois, le député des Îles estime que, bien que plusieurs dossiers aient progressé, le contexte social et économique affecte le pouvoir d’achat et le moral de nombre de ses concitoyens.

Dans sa lettre, Joël Arseneau rappelle notamment les différentes initiatives locales et communautaires qui dynamisent la communauté et auxquelles il a contribué avec divers partenaires. Des résultats tangibles, un travail qui doit se poursuivre Quant aux grands enjeux qui touchent l’archipel, le député juge que les efforts portent fruits et que les résultats sont tangibles.

« En matière de transport aérien, le service s’est amélioré. Nous avons obtenu l’admissibilité des voyages additionnels au PAAR pour les voyages des jeunes et leurs familles. J’ai fait de nombreuses propositions au gouvernement dont l’ajout d’un volet Innovation au Programme d’accès aérien aux régions (PAAR), j’ai déposé une pétition pour améliorer la desserte des Îles, mais la CAQ doit aller plus loin et passer à l’action », poursuit-il.

En ce qui a trait aux garderies, Joël Arseneau constate des avancées.

« On a répondu à l’appel des parents, on a mobilisé le milieu et mis sur pied des solutions concrètes pour ouvrir davantage de places, dont le CPE de l’est, un projet-pilote. D’autres initiatives s’en viennent et les efforts vont se poursuivre l’an prochain », explique l’élu.

Par ailleurs, d’autres dossiers importants seront toujours à l’ordre du jour.

« En santé, on a de grands défis tant sur le plan national que sur le plan local, mais on a obtenu des gains concrets pour les gens, comme l’indexation des indemnisations de la politique de déplacement des usagers. J’ai travaillé à bonifier le projet de loi 15, questionné ses impacts sur les soins de santé et services sociaux en région. Il faudra assurer une grande vigilance pour assurer le maintien des services en région », avertit Joël Arseneau.

Tournant son regard vers 2024, le député des Îles entend consacrer beaucoup d’énergie au dossier de l’habitation.

« Il est important de maintenir nos acquis et de réaliser d’autres gains en matière de logement », soutient celui qui a aussi travaillé sur le projet de loi 31 sur l’habitation. « On va continuer le travail » assure-t-il, à Québec comme sur le plan local, notamment en suivi à la rencontre importante tenue aux Îles l’automne dernier, On loge notre monde, où plusieurs pistes locales ont été abordées.
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