Susan Holt est venue rencontrer les citoyens du nord-ouest. « Moi je veux un leadership qui démontre de l’empathie de la compassion peut être un leadership qui est en amour avec notre province»

À ses côtés, des membres de son parti, Francine Landry et Jean-Claude D’Amours. « Elle représente l’avenir du Nouveau-Brunswick une femme à l’écoute une femme qui veut entendre ce que les gens du Nouveau-Brunswick ont comme inquiétudes » annonce Francine Landry, députée du Madawaska-Les-Lacs-Edmundston.  « Que Susan puisse rencontrer le maximum de genre à travers la province ici c’est extraordinaire prendre le temps de discuter de jaser » ajoute à son tour Jean-Claude D’amours, député d’Edmundston-Madawaska-Centre.

Lors de sa visite à Edmundston, elle a fait part de ses priorités : les soins de santé arrivent tout en haut de la liste, avec notamment les conditions de travail du personnel «les solutions sont là sur le terrain avec les travailleurs et le personnel de soin de santé ça c’est pourquoi je fais une tournée ce n’est pas à Fredericton qu’on va tout régler. On doit vraiment prendre soin de la personne qui prend soin de nous autres » livre Susan Holt, la chef du parti libéral du Nouveau-Brunswick.

Améliorer l’accessibilité à des médecins de famille et désengorger les urgences en ouvrant des cliniques communautaires font partie de ses solutions. « ce n’est pas le temps de réduire nos services de santé c’est le temps d’investir au niveau primaire et communautaire et ça va nous aider à réduire le travail dans les hôpitaux » poursuit Susan Holt.

Parmi les autres dossiers qui préoccupent la cheffe libérale : les besoins en logements abordables, l’immigration et le rôle des municipalités. « C’est excellent de voir des étudiants à l’international qui viennent ici, mais où est ce qu’ils vont vivre ?  On a une municipalité qui veut faire des choses ici qui veut bouger un partenaire fédéral qui sont prêt à mettre l’argent, mais on a un gouvernement provincial qui pense que ce n’est pas à eux de faire » indique la chef du parti.

Tout comme le Parti progressiste-conservateur, le Parti libéral semble déjà être en mode électoral.