En misant sur les passions des jeunes, l’enseignement pourra s’adapter en fonction de ce qui motive chacun. Les élèves seront plongés dans des situations authentiques et leur apprentissage se fera sous forme de projets émanant d’eux. La province espère combattre le décrochage scolaire qui mine les écoles secondaires.

« C’est aux équipes professionnelles d’utiliser les intérêts des jeunes pour faire passer les sujets plus académiques. J’utilise toujours l’exemple de ma passion personnelle : l’aviation. On a des cours de pilotage dans la province. Et, c’est beaucoup plus intéressant pour beaucoup de jeunes qui ne sont pas intéressés par les mathématiques ou la physique… mais, si c’est lié à l’aviation, ça peut allumer l’étincelle, comme on dit », affirme le ministre de l’Éducation du Nouveau-Brunswick, Dominic Cardy.