Selon lui, la Gaspésie a sur son territoire des terres agricoles non exloitées à vendre et beaucoup moins dispendieuses qu’en milieu urbain, qui pourraient attirer des maraîchers.

Alexis Dumont-Blanchet s’engage justement à soutenir les initiatives locales afin que les consommateurs puissent de plus en plus retrouver le lien de proximité avec les producteurs.

D’ailleurs, le parti de gauche s’est engagé à verser 160 millions par année pendant 5 ans s’il est élu pour financer une politique agricole qui vise entre autres à développer les circuits courts, encourager la relève agricole et favoriser l’alimentation biologique.

 «Le lien n’est plus là entre le producteur et le consommateur à cause que c’est trop à échelle industrielle. On sent une tendance, en Gaspésie comme ailleurs, un retour en arrière par rapport aux commerces de proximité […] On le voit avec les marchés publics qui poussent un peu partout, c’est assez impressionnant. Il faut suivre le courant. Présentement, c’est un retour à plus petite échelle», dit le solidaire Alexis Dumont-Blanchet.