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Jean D’Amour fier de la situation économique de la région

Publié le 14 décembre 2017 à 16:44, modifié le 14 décembre 2017 à 16:49

Par: CIMTCHAU

La session parlementaire s’est terminée la semaine dernière à Québec. Les différents partis politiques ont dressé leur bilan vendredi. Le député-ministre Jean D’Amour a fait de même jeudi après-midi à son bureau de comté de Rivière-du-Loup.

Le ministre a mis l’emphase sur les investissements annoncés dans sa circonscription. Jean D’Amour dit que c’est grâce à la marge de manœuvre que s’est dégagée le gouvernement. Parmi les principaux investissements, on pense à la côte Saint-Pierre et le Carrefour maritime à Rivière-du-Loup. Il y a eu aussi un investissement majeur chez Lepage Millwork. Plusieurs municipalités ont également reçu de l’argent pour rénover leur centre communautaire. Monsieur D’Amour est fier de la situation économique actuelle du Québec et de la région du Bas-Saint-Laurent particulièrement.

«Au Bas-Saint-Laurent présentement on a un taux de chômage qui est en deca de 5%, donc on parle de plein emploi à ce moment-ci. Et ce que je constate aussi, on assiste à la création d’emplois de qualité, des emplois plus payants parce qu’on constate que le revenu des Québécois augmente. Pendant qu’on augmente le revenu des Québécois par l’emploi bien on propose également aux Québécois des baisses d’impôts.» – Jean D’Amour

À quelques jours des vacances, Jean D’Amour se prépare déjà pour 2018 ; une année électorale. Il ne faut pas s’attendre à un débit d’annonces plus élevé qu’on a été habitué au cours des trois dernières années et demie dit-t-il.

Plusieurs projets vont avancer en 2018, le CHSLD de Chauffailles et la phase 3 de l’autoroute 85, surtout. Surement qu’on aura quelques surprises d’ici les élections. Parce que même si Jean D’Amour semble bien en selle sur son siège de député, il ne prend rien pour acquis: «Je n’ai jamais rien pris pour acquis. L’erreur à ne jamais commettre en politique c’est de se croire invincible. Les citoyens méritent qu’on aille à leur rencontre en campagne électorale, qu’on aille les voir chez eux dans leur municipalité. Je n’ai pas l’intention de changer.»