3L EXPRESS : Les Pouliot vivent des beaux moments père-fils
Publié le 22 décembre 2021 à 11:08, modifié le 22 décembre 2021 à 11:08
Par: CIMTCHAU
Dans ce segment 3L Express, on vous présente Mathis Pouliot, 13 ans, prend à cœur son rôle de préposé à l’équipement avec les 3L. Accompagné de son père Stéphane, il travaille aux bons soins des joueurs de l’équipe.
«Moi avec mon père je m’occupe des bouteilles surtout, je fais les bouteilles et c’est moi qui fait les bancs de pénalité, notre banc aussi et je m’occupe des rondelles avant et après la période d’échauffement.», a dit le jeune homme.
«Ça fait 6 ans que je suis là, au début il est arrivé et il a commencé à discuter avec les gars et il a pris goût à ça.», a noté son père, Stéphane.
Mais ce n’est pas tout : «je fais aussi le gatorade!», a souligné Mathis.
Le jeune homme connaît sa routine et il n’a pas le temps de se tourner pas les pouces.
«Lui, c’est pareil comme les joueurs, il est dans sa bulle et il sait ce qu’il a à faire, pas besoin de lui dire, il sait tout et il est concentré.», a mentionné le paternel.
A-t-il appris du meilleur ? «Je ne sais pas, on est deux bons!», a-t-il répondu.
Avec le temps, Mathis est en quelque sorte devenu le petit frère des joueurs et des vétérans de l’équipe.
«Un peu oui! Il y en a beaucoup qui me parle, les nouveaux je leur parle un peu moins, car je les connais moins, mais les plus anciens comme Chevrier et Maxime Villemaire, je leur parle beaucoup.», a répondu le jeune Mathis.
Les deux Pouliot vivent des beaux moments père-fils : «c’est surtout d’aider mon père et de pouvoir parler aux gars aussi, c’est ce que j’aime le plus là-dedans.»
«C’est plaisant de voir mon fils faire ça, et moi ça me sauve des petites tâches, ça me permet de faire autre chose!», a aussi dit le père.
À un moment donné, est-ce que Mathis reprendra le flambeau et remplacera son père comme préposé à l’équipement de l’équipe ?
«Éventuellement, oui. Mon rôle avant, ça va être d’essayer de faire ma carrière de hockeyeur avant d’être préposé, mais éventuellement j’aimerais ça devenir comme mon père.», a dit le jeune homme passionné.
«Je pense que ça lui tente, il m’en parle des fois. Je lui dis, des fois, je pense que je vais m’en aller et il me répond, pas avant de gagner une Coupe.», a répondu Stéphane.
Et il sera toujours derrière les 3L : «c’est mon équipe que j’aime!»
L’organisation aime aussi voir un jeune homme autant passionné et dédié à sa cause.