20e anniversaire des Albatros : deux chandails retirés, un casque doré
Publié le 13 mai 2025 à 17:29, modifié le 13 mai 2025 à 17:29
Par: Nathanael Paul
À l’aube de leur 20e saison, les Albatros du Collège Notre-Dame s’apprêtent à franchir une étape marquante de leur histoire. Deux chandails seront retirés pour la première fois — ceux de Gabriel Dumont et Gabriel Bourque — tandis qu’un nouvel uniforme, incluant un casque doré et un chandail héritage inspiré des années 70, fera son entrée.
Parmi les moments forts de cette célébration : le retrait, pour la toute première fois, de deux chandails emblématiques. Gabriel Dumont et Gabriel Bourque rejoindront les immortels du Centre Premier Tech.
« Ce sont des joueurs qui ont un impact ici, et ils ont encore un impact aujourd’hui. Surtout dans le vécu. Ce sont des gars qui ont leur corps d’accroché dans notre chambre », souligne Brendon Baribeau, entraîneur-chef des Albatros.
Leur cérémonie d’intronisation aura lieu lors du match d’ouverture, le 5 septembre prochain. Gabriel Dumont, notamment, est une figure marquante ayant inscrit un record de 72 points en une seule saison avec les Albatros en 2006-2007.
« Son parcours dans le junior majeur a été marquant. Son passage dans la LNH aussi. C’est vraiment un joueur qui nous rend très fiers », ajoute Pierre-Yves Courbron.
L’ajout d’un casque doré
En plus de ces célébrations, les Albatros présenteront deux nouveaux uniformes, dont un chandail « héritage » inspiré des Albatros Junior B des années 70. Un casque doré – unique dans la ligue – complètera l’ensemble et ne passe déjà pas inaperçu.
« Juste d’avoir un casque doré, c’est extraordinaire. On a fait des tests photo, et c’est incroyable », affirme David Morin avec enthousiasme.
« On le sait qu’on a déjà de beaux uniformes, mais celui-là est spécial. On va le porter avec fierté », confirme Brendon Baribeau.
Une saison mémorable en perspective
Ce 20e anniversaire promet d’être un moment fort non seulement pour l’organisation, mais surtout pour les joueurs qui vivront une saison unique.
« Ils ont hâte, mais il faut qu’ils le méritent. C’est un privilège de pouvoir vivre ça. À eux d’en profiter au maximum », conclut Brendon Baribeau.